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Ma sĆur sentit mon Ă©rection et me masturba lĂ©gĂšrement tout en continuant de nous embrasser, mais elle ne poussa pas la masturbation jusquâau bout. Lorsque nous sortons du lit, jâavais donc une bonne Ă©rection que je ne cherchais pas Ă dissimuler. Encore une fois, ma sĆur ne partit pas dans une autre piĂšce pour sâhabiller, elle le fit dans la mĂȘme piĂšce que moi. En prĂ©vision de la plage cet aprĂšs-midi, ma sĆur mit donc un bikini noir en guise de sous-vĂȘtements, un petit short en jean et un maillot blanc. Heureusement quâelle avait prĂ©vu plusieurs maillots de bain pour les vacances, sinon, nous aurions dĂ» aller en acheter un nouveau avant quâelle puisse se baigner Ă nouveau. Moi, je mis simplement un short sans rien en dessous, et un t-shirt aux motifs dâun personnage Marvel. Une fois habillĂ©s, nous Ă©changeons encore quelques baisers puis nous allons acheter nos croissants Ă lâĂ©picerie du au long du chemin et mĂȘme Ă lâintĂ©rieur de lâĂ©picerie, je prenais ma sĆur par la taille, comme le ferait nâimporte quel homme en couple. Et vu que personne ne connaĂźt notre lien familial, nous paraissons donc comme un couple ordinaire aux yeux de quiconque nous regarderait. Vu que jâai payĂ© le restaurant la veille au soir, ma sĆur dĂ©cida de payer toutes nos activitĂ©s aujourdâhui, en commençant par les retour au mobile-home, nous prenons notre petit-dĂ©jeuner. Ma sĆur me sourit.â CâĂ©tait merveilleux cette nuit, me dit-elle. Jâavais oubliĂ© Ă quel point câĂ©tait agrĂ©able de dormir avec un homme aprĂšs lâamour.â Jâai beaucoup aimĂ© moi aussi, mĂȘme si pour moi, je suppose que ça faisait moins longtemps que toi puisque je suis cĂ©libataire depuis moins longtemps que toi. Mais dis-moi, est-ce que ça veut dire que tu as fini par oublier ton ex ou câĂ©tait juste du rĂ©confort pour toi ?â Ne me parle plus de ce gros con, jâai fini par rĂ©aliser quâil nâen vaut pas la peine. Et pour rĂ©pondre Ă ta question, hier, je nâaurais pas voulu dâun autre homme. Je ne tâai pas baisĂ©, je tâai fait lâamour.â Jâai bien senti que ça nâavait pas lâair dâĂȘtre que du sexe, et câest bien que tu le confirmes. Mais rassure-toi, moi aussi je tâai fait lâamour et je nâaurais pas voulu dâune autre femme que que frĂšre et sĆur, nous parlions de notre journĂ©e de la veille comme un couple qui apprend Ă se connaĂźtre. Et rien de ce que nous avons pu nous dire ou faire ne me surprit malgrĂ© notre lien avoir fini son croissant, ma sĆur vint sur mes genoux, passa ses bras autour de mon cou, et nous repartions dans une nouvelle sĂ©ance de baisers. Mes mains caressaient son corps, parfois sous ses vĂȘtements, et ma sĆur se laissa 11 heures, les nuages ne sâĂ©tant pas dĂ©gagĂ©s, je proposai Ă ma sĆur dâaller manger ce midi dans un restaurant sur Biarritz, et aller visiter le musĂ©e de la mer aprĂšs le repas. Elle accepta mon idĂ©e. AprĂšs avoir pris le sac contenant le nĂ©cessaire pour la baignade au cas oĂč le soleil ferait son apparition dans lâaprĂšs-midi, nous sommes partis Ă ma voiture, et je la laissai prendre le volant. Pendant le trajet, sa main vint rĂ©guliĂšrement caresser mon entrejambe par-dessus le tissu de mon short. Lâexcitation montant, je sortis ma bite de sa prison.â Range-la, me dit ma sĆur. Ăa va me dĂ©concentrer et je vais finir par ne plus regarder la route.â Tu peux aussi tâarrĂȘter et tâen occuper, lui dis-je. Câest toi qui lâas rendue comme ça Ă force de la restai donc le sexe Ă lâair, prenant toutefois garde Ă ce que ma sĆur ne quitte pas trop la route des yeux. Ă vrai dire, je nâattendais rien de particulier de ma sĆur Ă ce moment-lĂ . Ă Anglet, ma sĆur sâarrĂȘta sur un parking de supermarchĂ©, vers les places les plus Ă©loignĂ©es. Elle regarda autour de nous durant plusieurs secondes, personne ne semblait regarder dans notre direction. Elle se pencha ensuite et prit mon sexe dans sa bouche. Elle entama ensuite une agrĂ©able sĂ©rie de va-et-vient sur ma tige. AprĂšs une ou deux minutes, elle se releva.â Tu me prĂ©viens quand ça vient.â Dâ regarda de nouveau autour de nous, puis reprit mon sexe dans sa bouche. Je me laissais aller Ă ce plaisir que ma sĆur me prodiguait avec sa bouche. Elle mâavait dĂ©jĂ sucĂ© la veille, mais câĂ©tait plus pour les prĂ©liminaires. LĂ , câĂ©tait bien meilleur. Elle me prenait dans sa bouche dans le but de mâamener jusquâau plaisir, et elle faisait ça trĂšs bien. Si au dĂ©but, elle semblait vouloir aller rapidement pour Ă©viter que quelquâun nous surprenne, au bout de quelques minutes, elle sâappliquait, prenant plus de temps pour bien faire les choses. Tout en me suçant, elle gĂ©missait. Ses lĂšvres entouraient parfaitement ma barre, et elle y mettait tout son une dizaine de minutes de ce divin traitement, je la prĂ©venais quâelle allait recevoir mon sperme. Elle ralentit encore ses mouvements pour faire durer mon plaisir plus longtemps, mais je finis par ne plus tenir. Mon jus se rĂ©pandait dans sa bouche par plusieurs giclĂ©es. Elle ne bougeait plus, restant sur ma bite jusquâĂ ce que je dĂ©bande entre ses lĂšvres. Ensuite, elle ouvrit sa porte et recracha sur le parking le fruit de mon plaisir. Avant mĂȘme de rattacher nos ceintures, ma sĆur redĂ©marra la voiture pour sâĂ©loigner rapidement du lieu oĂč se trouvait la tache blanche.â Je nâavais jamais fait ça dans une voiture ni sur un parking, me dit-elle aprĂšs avoir repris la route.â Moi non plus, lui avouais-je Ă mon tour. Et pour ĂȘtre honnĂȘte, je ne mâattendais pas Ă ce que tu le fasses. Je pensais que tu allais plus insister pour que je la avons continuĂ© la route jusquâĂ notre destination. Ma sĆur arrĂȘta la voiture sur une place miraculeusement disponible Ă cette distance du phare. Nous avons marchĂ© bras dessus, bras dessous, jusquâĂ un restaurant qui semblait nous convenir Ă tous les deux. Sur la carte, un mot nous Ă©tait inconnu Ă tous les deux.â Sâil vous plaĂźt ? demandais-je au premier serveur qui passait.â Oui Monsieur ?â Je vois plein de plats au chiperons. Quâest-ce que câest ?â Câest du calamar.â Dâaccord, merci.â Je vous en prie. Vous avez fait votre choix ?â Pas encore.â Je vous laisse choisir et je reviens vers vous tout Ă lâ jamais goĂ»tĂ©, ma sĆur dĂ©cida de prendre des spaghettis Ă la sauce aux chiperons. Moi, moins tĂ©mĂ©raire sur les plats que je ne connais pas, jâoptai pour une bavette dâAloyau. En attendant dâĂȘtre servis, nous nous prenons par la main. Je rĂ©alise Ă ce moment que nous nous comportons comme deux amoureux qui dĂ©butent leur plats Ă©tant servis, ma sĆur prit une premiĂšre fourchette de ses spaghettis, puis me proposa de les goĂ»ter.â Ce nâest pas mauvais. Tu veux goĂ»ter ?Elle enroula quelques spaghettis enrobĂ©s de sauce et me tendit sa fourchette. Finalement, ce nâĂ©tait pas cours du repas, ma sĆur ne recommença pas son "petit manĂšge" de la veille en me demandant si je trouvais telle ou telle fille belle. Je ne savais toujours pas pourquoi elle mâavait demandĂ© ça la veille. Quoi quâil en soit, nous profitions dâun bon repas ensemble. Ă la fin du dessert, le soleil Ă©tait toujours aux abonnĂ©s absents. Nous avons donc repris la voiture aprĂšs avoir payĂ© la note du restaurant, puis nous avons pris la direction du musĂ©e, ou plutĂŽt, le GPS nous a indiquĂ© la prĂ©vu depuis le dĂ©but de la journĂ©e, ma sĆur paya Ă©galement nos deux entrĂ©es. Nous nous promenons dans le musĂ©e, soit main dans la main, soit bras dessus bras dessous. Quelques fois, nous Ă©changions quelques baisers devant les environ au milieu du parcours, tout en embrassant ma sĆur, je fis glisser ma main dans son short, puis Ă lâintĂ©rieur de son bikini. Elle retira ma main une premiĂšre fois.â Pas ici, il y a trop de monde. On pourrait nous surprendre.â On peut aussi ĂȘtre discrets, lui dis-je en glissant ma main une seconde tenta dâopposer une rĂ©sistance, mais elle cĂ©da rapidement. En quelques secondes et quelques baisers, elle ne chercha plus Ă se dĂ©battre. Elle mit sa tĂȘte contre moi afin de masquer ses gĂ©missements. Dans cette position, si les visiteurs ne vĂ©rifiaient pas lâorientation de ma main, ils pouvaient aisĂ©ment croire quâelle pleurait sur mon Ă©paule. Mon majeur explorait lâintimitĂ© de ma sĆur. Bien que serrĂ©e dans son bikini, ma main trouvait assez dâamplitude pour faire frĂ©mir ma sĆur. En quelques minutes, je sentais quâelle Ă©tait devenue plus humide.â Tu as Ă©tĂ© trop loin pour tâarrĂȘter, me dit-elle, le visage dissimulĂ© contre ma qui la veille avait peur dâĂȘtre vue nue par quelquâun, elle se laissait maintenant doigter certes discrĂštement en public. Je continuais donc Ă lui donner du plaisir. Cette fois, ses gĂ©missements Ă©taient plus forts, le rĂ©confort Ă©tait de moins en moins crĂ©dible. AprĂšs encore quelques minutes, ma sĆur tentait maintenant de dissimuler ses gĂ©missements en mâembrassant. Certains visiteurs nous regardaient Ă©trangement, comme sâils avaient devinĂ© ce qui se passait sans rĂ©ellement croire que nous le faisions vraiment en raison du risque dâĂȘtre surpris. Pourtant, nous Ă©tions bien en train de pratiquer un acte sexuel. Quelques minutes plus tard, ma sĆur cacha difficilement son orgasme en mâembrassant fortement. Mais je sentais son corps se crisper sur ma main. Nous nous embrassons encore quelques minutes, pendant que ma sĆur retrouvait ses esprits. Tout cela mâavait Ă©galement fortement excitĂ©, et je bandais dur dans mon short. Câest pourquoi je ne retirai mon doigt quâaprĂšs que son plaisir soit retombĂ© et quâaprĂšs que mon Ă©rection soit passĂ©e. Et pour ne pas rĂ©vĂ©ler la rĂ©alitĂ© aux autres visiteurs, je rĂ©sistais Ă lâenvie de me lĂ©cher le doigt pour goĂ»ter une fois de plus au divin jus de ma sĆur. LĂ encore, pratiquer une activitĂ© sexuelle dans un lieu public Ă©tait une premiĂšre pour chacun de nous. AprĂšs ce moment de plaisir, nous continuions la visite le plus naturellement possible. Et pour justifier sa transpiration, ma sĆur prĂ©tendait rĂ©guliĂšrement quâil faisait chaud dans le visite terminĂ©e, le ciel Ă©tait maintenant dĂ©gagĂ©.â Je vais aller me baigner, me dit ma sĆur. AprĂšs ce que tu mâas fait, jâai besoin de me rafraĂźchir.â OK, moi je vais aller chercher le sac dans la ce sac, il nây avait pas grand-chose, juste une serviette de plage pour chacun et de la crĂšme solaire. Mais il nous servait aussi pour mettre nos montres et nos tĂ©lĂ©phones, et bien sĂ»r, les clĂ©s de la voiture avant dâaller dans lâeau. Pendant que ma sĆur prenait la direction de la plage, je me dirigeai vers la voiture. ArrivĂ© ensuite sur le sable, je constatai que ma sĆur Ă©tait encore tout habillĂ©e. Je lâaurais pourtant crue rejoindre lâocĂ©an aussitĂŽt arrivĂ©e, mais nous installons sur un coin de sable, puis ma sĆur mâembrassa avant de retirer son short et son t-shirt.â Tu ne viens pas avec moi ? me demanda-t-elle.â Je nâai rien prĂ©vu pour me baigner quand jâai vu le temps ce matin.â Ce nâest pas grave, tu peux retirer ton t-shirt et venir comme fini par accepter sa proposition et nous sommes allĂ©s nous baigner ensemble. Ou plutĂŽt, nous avons Ă©tĂ© dans lâeau ensemble, car en raison des nuages persistants, le soleil nâavait pas, Ă mon goĂ»t, eu le temps de suffisamment rĂ©chauffer lâeau. Elle Ă©tait environ deux ou trois degrĂ©s en dessous de celle de la veille dans la ville oĂč se trouve le camping. Cela ne sembla pas trop dĂ©ranger ma sĆur, moi en revanche, jâavais un peu sĆur profita cinq ou dix minutes, puis, voyant que je ne mâamusais pas vraiment, elle vint vers moi. Aujourdâhui, mĂȘme si personne nâavait perdu son maillot, les rĂŽles Ă©taient inversĂ©s, câest moi qui restais figĂ© et câest ma sĆur qui prit soin de moi. Elle me serra dans ses bras et mâembrassa. AprĂšs quelques minutes dans ses bras, je tentai de mâĂ©loigner dâelle pour retourner Ă ma serviette et la laisser profiter seule. Elle refusa de profiter seule, et elle sortit avec moi. Une fois allongĂ©e sur le dos sur ma serviette, elle vint sâallonger sur moi. Je la pris dans mes bras, et nous nous embrassions longuement. Mais rapidement, le ciel se couvrit Ă nouveau. La plage fut dĂ©sertĂ©e en quelques minutes. Seuls quelques tĂ©mĂ©raires avaient dĂ©cidĂ© de continuer de profiter des retournions donc Ă la voiture. Cette fois, nous retournions au camping. Au pire, nous allions regarder un film si le temps se gĂątait encore davantage. Pour le retour, câest moi qui pris le volant. Et nâayant pas pris le temps de nous sĂ©cher, nous mettions une serviette pliĂ©e en quatre sous nos fesses afin de ne pas mouiller les siĂšges de la le chemin du retour, je vis une pharmacie le long de la route. Je dĂ©cidai de mây arrĂȘter rapidement.â Tu te sens mal ? me demanda ma sĆur.â Non, je vais acheter des capotes. Je me penchai vers elle pour lâembrasser, mais au moment de sortir de la voiture, elle me retient.â Tu nâes pas obligĂ© dâen acheter. On peut continuer sans.â Tu es sĂ»re, ça ne te pose pas de problĂšme ?â Non, et puis quand je vois que tu as le rĂ©flexe de tâarrĂȘter Ă la pharmacie pour acheter des capotes, je me dis que tu devais sĂ»rement te protĂ©ger avec tes ex, et donc, que tu nâas pas de saloperie.â Oui, tu es la premiĂšre avec laquelle je ne me suis pas protĂ©gĂ©e la premiĂšre fois.â Donc si tu veux toujours aller en acheter, je ne te retiendrai pas. Mais si tu prĂ©fĂšres continuer sans, sache que ça ne me posera pas de jâoptais pour continuer de faire lâamour sans protection, et je repris la route. Cette fois, il nây avait plus dâarrĂȘt avant dâĂȘtre sortons de la voiture et regagnons notre mobile-home. Nous prenons la direction de la chambre et Ă©changeons quelques baisers. Tout naturellement, nous nous dĂ©shabillons mutuellement. Nous savons trĂšs bien la suite que cela prendra, mais pour le moment, nous ne faisons que nous embrasser en Ă©tant nus et allongĂ©s sur le lit. Nous nous caressons lâun et lâautre. Nos mains sâunissent. Nos langues se mĂȘlent depuis que nous sommes sur le lit. Mais aprĂšs plusieurs minutes, ma bouche se retira de la sienne. Maintenant, câest dans son cou que je dĂ©posai mes baisers. Puis jâembrassai ses seins et lĂ©chai ses tĂ©tons qui durcissaient sous lâeffet du plaisir. Je mâoccupai de lâun puis de lâautre, puis je descendis ensuite sur son ventre et son nombril. Elle posa ses mains sur ma tĂȘte, puis me guida pour descendre plus bas. Jâarrivais maintenant entre ses cuisses, et je lĂ©chais son fruit si dĂ©licieusement parfumĂ©. Je me rĂ©galais de chaque goutte de sa cyprine. Ma sĆur gĂ©missait sans aucune retenue. Sous lâeffet du plaisir, elle se tortillait dans tous les sens, ne cessant de me dire Ă quel point elle aimait ce que je lui faisais. Un premier orgasme lui parvint et elle resserra ses cuisses sur ma tĂȘte tout en laissant son plaisir sâexprimer librement. Je me redressais alors, et vins me mettre entre ses jambes, mon sexe bien dur Ă lâentrĂ©e de son vagin. Laissant notre volontĂ© commune sâexprimer, je la pĂ©nĂ©trais, glissant en elle sans effort. AllongĂ© sur elle, nos langues dansaient ensemble pendant que nos corps sâunissaient dans cette envie mutuelle de lâautre. Aucun doute, ce nâĂ©tait pas simplement du sexe, câĂ©tait bien plus intense. Nous faisions lâamour comme jamais nous ne lâavions fait avec nos partenaires sĆur fut une nouvelle fois emportĂ©e par un orgasme, mais je nâavais toujours pas atteint mon paroxysme. Je continuais Ă faire des allers-retours dans son vagin, pour notre plus grand plaisir Ă tous les deux. Quelques minutes plus tard, au cours dâun orgasme mutuel, je me dĂ©versai naturellement au fond de son intimitĂ©. Je restai en elle encore quelques minutes, ne cessant de lâembrasser aprĂšs cette union charnelle des plus me retirant, je mâallongeai Ă ses cĂŽtĂ©s. Ma sĆur vint alors poser sa tĂȘte sur mon torse. Nous nous caressons mutuellement de nombreuses minutes, sans Ă©changer un seul mot. Lorsque ma sĆur releva la tĂȘte, câĂ©tait pour un nouvel Ă©change de baisers.â Tu viens prendre la douche avec moi ? finis-je par lui simple hochement de tĂȘte en guise dâapprobation de sa part, suivi dâun autre baiser, et nous avons pris ensemble la direction de la douche. Je lavai intĂ©gralement son corps. Ma sĆur ne me refusait aucune partie quâelle aurait pu prĂ©fĂ©rer se laver seule. Non, je pouvais la savonner partout. En rĂ©alitĂ©, la douche nâĂ©tait quâun prĂ©texte de plus pour continuer de se caresser, puisquâaprĂšs chaque passage du gant de toilette, ma main prenait le relais, caressant ainsi chaque centimĂštre de son corps. En arrivant Ă ses seins, je les embrassais une derniĂšre fois avant de les savonner. Et mes mains traĂźnĂšrent plus longtemps que nĂ©cessaire, mais ma sĆur me laissait profiter de son corps Ă volontĂ©. En arrivant au niveau de son intimitĂ©, je dĂ©posai un baiser sur son pubis. Ma sĆur fit la mĂȘme chose que moi lorsquâelle me lavait. Nul doute que nous sommes restĂ©s bien plus longtemps que si nous avions pris la douche sĂ©parĂ©ment, mais je nâen avais jamais pris une aussi agrĂ©able. Et toujours dans un contexte de sensualitĂ©, nous avons partagĂ© la mĂȘme serviette, nous essuyant mutuellement lĂ de ne pas nous rhabiller, nous avons prĂ©fĂ©rĂ© prĂ©parer Ă manger nous-mĂȘmes pour rester dans le mobile-home. Câest donc toute nue que ma sĆur se mit aux fourneaux. Une simple salade composĂ©e dâoeufs, de tomates et de thon ferait donc lâaffaire pour ce soir. Nous mangeons ensemble, nâĂ©prouvant aucune gĂȘne dâĂȘtre nu lâun Ă cĂŽtĂ© de lâautre. Ă plusieurs reprises au cours du repas, je mis mon bras autour de sa taille. Elle passa sa main sur ma cuisse. Et plusieurs baisers furent fois le repas terminĂ©, je fis la vaisselle pendant que ma sĆur rejoignait la chambre. Et aprĂšs avoir lavĂ© les assiettes et les couverts, jâallais rejoindre ma sĆur dans le lit. Comme la veille au soir, nous avons pris lâordinateur pour regarder un film. Mais Ă la diffĂ©rence, ce jour-lĂ , nous Ă©tions tous les deux nus pour le visionner. Ce film, aucun de nous ne lâavait vu, mais dâaprĂšs le rĂ©sumĂ©, il avait lâair bien. Toutefois, aprĂšs environ trente minutes, nous avons prĂ©fĂ©rĂ© arrĂȘter, il nâĂ©tait finalement pas si bien quâil y paraissait. Ma sĆur et moi avons fait lâamour une derniĂšre fois avant de nous endormir. PoliceEnnous la vie des morts - - Laurence NobĂ©court - Nortatem, un trentenaire amĂ©ricain, est complĂštement seul. Fred, son double, son ami de toujours, vient de se jeter par la fenĂȘtre. Nortatem, lui, a quittĂ© sa maĂźtresse, Georgia. Et sa proche amie est partie en France pour l'Ă©tĂ©. Alors il se retire dans le Vermont, où il fait son travail de deuil.
XXX » FrĂšre et sĆur » Un jeune homme pervers force sa demi-sĆur Ă Ă©carter les jambes Il est excitĂ© quand les femmes refusent de faire l'amour avec lui. C'est un acte qui dĂ©clenche les fantasmes les plus sombres en lui, et sa sĆur lui a dit Ă plusieurs reprises qu'elle dĂ©testait que son frĂšre la regarde comme si elle Ă©tait un morceau de viande. Mais derriĂšre ces mots, il y a un ton qu'il dĂ©crypte trĂšs bien, il sait que sa sĆur veut le baiser et il n'a pas l'intention de manquer l'occasion de la mettre Ă quatre pattes. Elle essaie de rĂ©sister et cela le rend fou, mais il est Ă©vident qu'elle cĂšde Ă la tentation car elle adore les baisers de son demi-frĂšre. LiĂ©skqlIyu.